700 emplois sur 1720 menacés au placement en redressement judiciaire en 1ère audience du groupe Tati.
Aucun des repreneurs ne se dit en mesure de prendre l’ensemble des salariés.Ceux-ci ne sont même sûrs de recevoir leurs salaires d’avril en temps et en heure !
Le groupe ERAM fait montre d’ une conduite inqualifiable, une dette de 5,7 millions d’euros apparait alors qu’elle n’existait pas un mois plus tôt, avec une tentative d’échapper à ses responsabilités en faisant financer un plan de licenciements par l’état et donc les contribuables.
Un grève a eu lieu se jour devant le magasin Tati de Nancy à l’appel d’une’intersyndicale CGT6CGC et UNSA, le magasin n’a donc pas ouvert ses portes .
Tractage auprès de la population, sensibilisation de la clientèle, interview par les journalistes locaux ont été à l’ordre du jour.
Les salariés revendiquent :
Leur maintien dans l’emploi
L’ouverture d’une négociation immédiate avec le groupe ERAM
Le versement immédiat des salaires d’avril