Manifestation de soutien à notre camarade de la SOVAB, non à la discrimination syndicale !

Ils étaient plus de 300 à avoir répondu, le 15 mai 2019, à l’appel de la CGT, de Sud, et de la CFTC à manifester devant l’entrée de l’usine Sovab. Il s’agissait de montrer que Didier Sibille bénéficiait de soutiens. Didier, syndiqué CGT, a fait l’objet d’une mise à pied à titre conservatoire. Cela fait suite à un incident survenu le 30 avril au sein de la chaîne de montage, entre lui et un membre de l’encadrement. De nombreux élus du secteur étaient présents pour dialoguer avec les salariés et syndicalistes et apporter leur soutien.

Pour voir les photos de cette manifestation :   Cliquez ici

La marche des Fiertés à Nancy le 3 juin, la CGT présente dans la lutte contre toutes les discriminations !

La CGT, dans le cadre de ses activités de combat contre les discriminations, a constitué depuis plusieurs années un collectif de lutte contre l’homophobie.

Ce collectif se propose, en collaboration avec l’ensemble des organisations de la CGT (fédérations, comités régionaux, unions départementales, unions locales et syndicats) de gagner de nouveaux droits pour les lesbiennes, gays, bisexuels et transsexuels (communément appelés LGBT) et de dénoncer et combattre toutes les discriminations dont ils et elles sont victimes.

Dans ce cadre, une marche est organisée tous les ans pour revendiquer une égalité des droits au travail et en dehors pour tous et toutes, dont  la CGT Lorraine est partie prenante depuis la 1ère Marche qui avait eu lieu à Metz.

Cette année encore, nous sommes fiers d’avoir participer à cette manifestation pour les libertés individuelles et collectives et remerçions les camarades présents dans le cortège.

A l’année prochaine

Mobilisation contre la répression syndicale à la SNCF de Nancy, venez soutenir notre camarade Nicolas VUILLAUME le 18/11 à 8h15 !

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La direction de la SNCF de Nancy s’inscrit dans le mouvement généralisé d’atteinte et de criminalisation de l’activité syndicale mis en oeuvre par le MEDEF et le gouvernement, elle a décidé de s’en prendre au corps militant du syndicat CGT cheminot en discriminant de façon éhonté les élus et mandatés.

Ainsi, après avoir malmené Jonathan MERLIER, c’est au tour de Nicolas GUILLAUME d’être la cible du courroux de cette direction irresponsable, la violence des actions à son encontre est sans précédent.

Nous ne pouvons pas laisser faire de tels agissements d’un autre temps, l’UL CGT Nancy appelle tous les syndiqués à une mobilisation d’ampleur pour une réponse à la hauteur de ces agissements inexcusables.

Nous devons apporter tout notre soutien à Nicolas et montrer notre solidarité et notre détermination à faire valoir nos droits et à ne pas subir.

« Lorsque un camarade de la CGT est attaqué, c’est toute la CGT qui est attaquée ! « 

RDV le 18 novembre à 8h15 

Villa Saint Jean

18 Avenue Foch  près du Viaduc Kennedy

Pour un rassemblement massif lors de la réunion DP et faire cesser l’attitude décomplexée de cette direction qui s’attaque de plus en plus souvent aux militants de la CGT.

Comptant sur votre présence.

Amitiés fraternelles

UL Nancy

 

Rassemblement du 5/11 en soutien à nos camarades CGT du Leclerc de Conflans Jarnisy

A l’appel de l’UD 54 avec le soutien de plusieurs UL (Nancy, Longwy, Pont à Mousson, Homécourt…), une mobilisation solidaire et fraternelle a eu ce jour devant le Leclerc de Conflans-en-Jarnisy pour soutenir les camarades du syndicat CGT Leclerc harcelés par leur direction et atteints dans leurs droits syndicaux et leur liberté fondamentale d’expression.

Isolement, mis à l’écart, placardisation, contestation de l’existence même du syndicat (la direction a été déboutée devant les tribunaux), refus d’appliquer les décisions de justice… à cela s’ajoute un climat de terreur sur l’ensemble des salariés afin de les soumettre et les rendre toujours plus corvéables.

Cette chasse aux sorcières et ces pratiques ne sont plus acceptables et doivent être condamnées.

Une intervention de M. Debay, secrétaire général de l’UD 54, de M. Corzani, élu au conseil départemental de Meurthe et Moselle et enfin une allocution émouvante de la déléguée CGT Leclerc bafouée dans son activité syndicale a été suivi par un barrage filtrant et une distribution de tracts à la population.

img_4835La direction de Leclerc va devoir comprendre que si un camarade est attaqué, c’est toute la CGT qu’elle trouvera devant elle !

PAS DE CONQUÊTES SOCIALES SANS LIBERTÉS SYNDICALES !

Pour voir la vidéo de cette action, cliquez ici

La solidarité et la mobilisation paient : Fin de la procédure de licenciement pour Karim

Ce vendredi 19 février, la direction de Derichebourg a appelé notre camarade Karim pour lui indiquer qu’il reprendrait le travail lundi 22. Après plus d’un mois de mise à pied à titre conservatoire et de procédure de licenciement pour faute, cela signifie que la direction met fin à la procédure de licenciement. Notre camarade retrouve ainsi son emploi !

Les rassemblements devant le siège de l’entreprise à Nancy et à Etupes, les pétitions et plus largement la mobilisation et la solidarité avec notre camarade Karim, DP et élu CGT suppléant au CE, ont donc permis de faire reculer la direction. Merci à toutes celles et à tous ceux qui ont rendu cette victoire possible.

Fort de cette victoire, le Syndicat Départemental CGT du Nettoyage continuera plus que jamais à lutter pour faire respecter les droits des travailleuses et des travailleurs.

Communiqué du Syndicat CGT du Nettoyage du Doubs

HALTE A LA DISCRIMINATION SYNDICALE !!!!!!

Soutien de toute la CGT à Karim !

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Halte à la discrimination syndicale !

La CGT sera de tous les combats pour la défense des camarades en lutte pour leurs droits et la liberté syndicale !

Nous étions une cinquantaine de camarades à soutenir Karim, salarié de la société « Derichebourg propreté » à Besançon. Suite à son entretien du 25 janvier, c’était au comité d’entreprise de se prononcer pour ou contre son licenciement. (ménageons le suspens !)

Rappel des faits : Karim est élu représentant du personnel CGT depuis juin 2012 à la société Derichebourg. Etonnement, ses ennuis commencent bien là ! L’entreprise commettra quelques délits d’entrave (retard de convocation, voire absence !) et juste à son encontre. La discrimination syndicale est donc bien en place dès la prise de son mandat. Ce n’est qu’à partir de fin décembre que l’entreprise Derichebourg décide d’augmenter la pression dès lors que Karim, avec d’autres salariés, principalement des femmes dans ce secteur d’activité, décident de créer avec le soutien de l’UL de Besançon, un syndicat départemental de la propreté le 17 décembre 2015. Avant cela, Karim aidait le plus possible d’autres salariés d’autres entreprises en proie à des difficultés liées au droit du travail. Le 22 décembre 2015, au nom du nouveau syndicat départemental, Karim dépose un droit d’alerte sur les conditions de travail dans son entreprise. Cela devait être de trop pour la société Derichebourg qui a trouvé, avec l’appui  d’un de ses clients, un allié potentiel pour faire porter à Karim des prétendus propos «menaçants» à l’encontre de la société ! Karim est en mise à pied conservatoire depuis le 13 janvier 2015.

La convocation préalable à licenciement s’est déroulée le 25 janvier dernier. Vendredi dernier, c’est le comité d’entreprise qui devait se prononcer pour ou contre le licenciement de Karim. Le cynisme de la société Derichebourg a conduit la société à organiser son CE loin de Besançon ou de son siège régional à Metz (comme le prévoit la loi) mais dans un lieu intermédiaire, loin d’un potentiel de soutien syndical… C’était sans compter la détermination des camarades de l’UL de Nancy, de l’UL de Frouard-Pompey, de l’UL de Besançon et surtout du syndicat départemental de la propreté de Meurthe-et-Moselle qui ont su répondre présents pour défendre notre camarade !

Car, quand un camarade de la CGT est attaqué, c’est toute la CGT qui l’est ! Un rassemblement très interprofessionnel s’est organisé dans l’urgence (en 4 jours seulement) au cœur de la zone industrielle de Champigneulles ce vendredi à 10 h 30.

Karim est sorti après une heure environ de débat en CE, gonflé d’une colère pleine d’émotions et dont les premiers mots furent consacrés à son incompréhension que l’ensemble des syndicats ne soient pas unis pour  défendre les salariés et les femmes d’un secteur d’activités où les conditions de travail sont difficiles et les salaires au plus bas ! Une personne a voté pour son licenciement et comme par hasard, elle est juge et partie dans l’histoire puisque qu’ayant témoigné à charge sur les propos « menaçants » de Karim. Le résultat du vote : sur 8 titulaires, 5 contre, 2 abstentions et donc 1 pour !

Karim entre dans une longue et interminable liste qui ne cesse de grossir dans les rangs de la CGT. Cette liste est celle de ceux qui subissent une discrimination syndicale abjecte de la part du gouvernement et du patronat. C’est une véritable guerre sociale qui s’engage contre les vrais syndicats qui luttent, qui résistent et qui veulent un monde meilleur.

Karim, c’est avec les camarades d’Air France, de Goodyear, Laura Pfieffer (inspectrice du travail à Annecy), Christophe Couderc (de la clinique du Pont-de Chaume) et tant d’autres que tu seras défendu pour ta dignité, la reconnaissance de tes droits et ton combat juste !

La CGT unie pour la liberté syndicale !