Pétition en ligne : NON à l’expulsion de l’UL !

La pétition en ligne contre l’expulsion de l’Union locale CGT de Nancy par la mairie… à signer et à partager le plus largement possible. Nous avons une année pour faire reculer la Mairie. La pétition est la première action. Elle sera suivie d’autres formes de mobilisations au cours de l’année à venir.

Pour signer la pétition en ligne, cliquez ici : https://www.change.org/p/m-laurent-h%C3%A9nart-maire-de-nancy-non-%C3%A0-l-expulsion-de-l-union-locale-cgt-de-nancy?recruiter=318366671&utm_source=share_petition&utm_medium=copylink&utm_campaign=share_petition

Evidemment, si vous avez déjà signé la pétition sous format papier, ne resignez pas la pétition en ligne. (et vice-versa)

Pour l’UL CGT

Yann Venier

La mairie de Nancy met à disposition gratuitement depuis 1936 des locaux pour l’Union locale CGT de Nancy au 17 rue Drouin, en centre ville de l’agglomération. Elle a décidé de réaliser une opération immobilière vendant ces locaux.

En conséquence de quoi, elle nous impose soit de racheter (prix de vente 396.000 sachant qu’il y a pour 200.000 euros de travaux environ de mise en conformité) ou de partir. Dans ce cadre elle nous propose soit de se tourner vers un bailleur privé soit un relogement dans un quartier périphérique de Nancy avec de nouvelles conditions financière : paiement d’un loyer et des charges attenantes et bien sûr de la taxe d’habitation, soit une somme annuelle avoisinant les 30.000 euros.

Ni l’Union locale ni les résidents qu’elle héberge, à savoir des unions syndicales fédérales, n’ont les moyens financiers suffisants ni pour racheter les locaux mis à disposition, ni de payer un relogement. La décision de la Mairie de Nancy s’apparente donc bien à une expulsion de l’Union locale CGT de Nancy, qui prendra effet au 1 septembre 2018.

L’Union locale CGT de Nancy représente 170 syndicats et 4500 syndiqués. Elle fait des permanences juridiques hebdomadaires et reçoit plus de 1000 salariés et syndiqués par an dans ce cadre, pour du conseil ou de la défense auprès des juridictions adéquates. Elle forme entre 200 et 300 syndiqués chaque année, en particulier concernant la formation sur les mandats d’élus du personnels, afin qu’ils puissent tenir leur mandat dans les entreprises et les services publics. De ce fait, l’Union locale CGT de Nancy rend un service d’intérêt général (un quasi-service public) – ce que la Mairie ne nie pas.

Par ailleurs, un rapport de l’IGAS de mai 2013, réalisé à la demande du ministre du travail, de l’emploi, de la formation professionnelle et du dialogue sociale de l’époque, pointait l’importance de la mise à disposition de moyens par les collectivités territoriales. Elle recommandait de : « Consolider l’usage de la mise à disposition des locaux dans la loi selon les principes suivants : les collectivités (communes, groupement de communes, départements, régions) pourvoient au logement des syndicats interprofessionnels (affiliés à une confédération ou une union nationale) qui en font la demande. Les frais, loyers et charges donneraient lieu pour l’occupant à la gratuité ou exonération. Ils pourront être financés par subvention des collectivités territoriales (par voie de conventions bilatérales ou multilatérales) ou par péréquation. »

Bien évidemment, malgré la demande unanime des organisations syndicales, le gouvernement n’a pas donné suite en en faisant une loi, préférant casser le droit du travail et les acquis des salariés tout en réprimant la contestation sociale.

Le prétendu développement de la démocratie sociale et le sempiternel dialogue social, dont les politiciens et les média nous rebattent en permanence les oreilles, ne serait-ils qu’un leurre visant à berner les salariés et les syndicats ? Nous ne pouvons y croire !

Quoi qu’il en soit, l’Union locale et les syndicats de son périmètre n’entendent pas se laisser mettre à la rue.

Nous vous appelons à soutenir notre combat en signant cette pétition* : Non à l’expulsion de l’Union locale CGT de Nancy du 17 rue Drouin !

(* les personnes ayant déjà signé la pétition format papier sont évidemment appelées à ne pas signer la pétition en ligne)

 

Le congrès de l’Union locale du 1er et 2 juin 2017 a voté à l’unanimité la motion suivante :

Le congrès de l’Union locale CGT de Nancy a pris connaissance de la volonté de la mairie de Nancy de réaliser une opération immobilière avec le bâtiment qu’elle nous met à disposition depuis 1936.

Les locaux dans lesquels l’Union Locale CGT exerce son activité sont à la fois un moyen indispensable à l’existence même de la structure, un lieu de rencontres et de débat pour l’ensemble des salariés du bassin Nancéien, un lieu de mémoire et d’identité et un espace de liberté.

Au même titre que les structures accueillant et fournissant des services aux usagers, les OS mènent des missions d’intérêt général à destination des salariés et des syndiqués de l’agglomération, pouvant être qualifiées de service public. De plus, depuis plus de 80 ans, son implantation actuelle lui permet d’offrir les services de proximité tout en garantissant une accessibilité et un traitement d’égalité entre tous les travailleurs.

L’Union locale de Nancy et ses environs résonne et transpire encore de toutes les luttes menées sur le bassin nancéien. Aujourd’hui, les syndicats fiers de son histoire, des luttes passées exigent de sauvegarder cet héritage de 1936.  Forte de cette histoire au service des salariés, aujourd’hui l’Union locale regroupe 4500 syndiqués et 170 syndicats.

Ayant examiné les différentes options qui nous sont proposées (rachat du 17 rue Drouin, relogement par la mairie ou un bailleur privé à de nouvelles conditions financières, relogement dans la Maison du Peuple), les syndicats réunis les 1er et 2 juin 2017 à Essey-lès-Nancy :

–       Condamnent fermement le projet d’expulsion de ses locaux historiques ; faute de pouvoir nous faire taire et d’empêcher toute velléité revendicative, Monsieur le Maire décide d’expulser l’organisation syndicale chargée de défendre l’intérêt des salariés ;

–       Décident de créer les conditions pour faire reculer la mairie par les moyens de la mobilisation et d’information qu’ils jugeront nécessaires. Le congrès délègue à la future direction de l’Union locale CGT de Nancy le soin d’organiser cette mobilisation.

–       Appellent l’ensemble des syndicats de son périmètre, et au-delà, ainsi que les différentes structures CGT à participer à cette lutte essentielle et vitale pour l’Union locale CGT de Nancy.

Pétition contre la fermeture du centre de distribution d’Essey-les-Nancy, faîtes tourner, faîtes signer !

NON A LA FERMETURE DE LA PLATE-FORME COURRIER D’ESSEY-LES-NANCY ET DE DOCAPOST

Le syndicat CGT FAPT est mobilisé pour empêcher la fermeture du courrier d’ESSEY-les-Nancy programmé par la Poste pour le 21 novembre 2017.

Le discours de la Poste consite à fermer les centres courriers en renvoyant les facteurs sur les sites au plus près de leur tournée, en industrialisant le tri de celle-ci, réduisant les travaux intérieurs de préparation mais augmentant ceux extérieurs.

Des positions travail sur ce site seront supprimées en plus des 9 emplois de la filiale DOCAPOST, hébergée dans les locaux.

L’autre argument fallacieux utilisé par la Poste, concerne la réduction des coûts par la réduction des surfaces immobilières. L’extrême rapidité est-elle bonne conseillère comme le prouve la fermeture du ssite de Nancy Lobau en 2015, toujours sans repreneur à l’heure actuelle ?

Enfin, il s’agit aussi d’une détérioration du service public postal qui offrait aux usagers et entreprises du secteur la possibilité de disposer d’une boîte postale avec une arrivée matinale du courrier, de déposer du courrier au départ après la levée des boîtes aux lettres, et cela avec la garantie d’un stationnement à disposition …

Trouvez ci-dessous la pétition à faire tourner dans vos syndicats et autour de vous.

A transmettre ensuite à votre UL, Merci d’avance

Pour accéder à la Pétition contre la fermeture de la PDC Essey, cliquez ici

CHU Nancy : Non à la révocation d’un agent, signez la pétition !

NON A LA RÉVOCATION DE MAURICE !

 Une décision arbitraire. Alors que le conseil de discipline aurait dû normalement comporter six membres (à parité entre des représentants de l’administration et des élus du personnel), le conseil de discipline qui a décidé du sort de notre collègue ne comprenait que quatre membres plus la présidente… Il y a eu deux voix contre deux, c’est la voix de la présidente du Conseil de discipline qui a fait pencher la décision pour que notre collègue soit révoqué de la Fonction publique hospitalière. Ainsi au CHRU de Nancy, trois personnes seulement peuvent décider de la vie d’un agent. Non, ce n’est pas normal, c’est un déni de justice !

 Une condamnation au chômage. C’est priver un agent de son gagne-pain que de le révoquer. Licencier un agent de 52 ans dans la situation actuelle, c’est le condamner délibérément au chômage et à la misère ! Faut-il donc que la direction de l’hôpital soit à ce point déshumanisée pour oser révoquer un agent après 30 ans de service au CHU ?Le directeur général a-t-il oublié qu’il était dans ses jeunes années un « petit » salarié, et qu’il a été militant de la CFDT ?

 La responsabilité de la direction.  Notre collègue qui travaillait au service transport (logistique) a été muté d’office, en février 2014, avec quatre de ses collègues, tous avec des restrictions médicales, au service du département des dossiers patients (Archives). Cette affectation était, selon la DRH, provisoire  … Provisoire elle l’a été pour les quatre collègues, mais pas pour Maurice, qui est resté aux Archives … Pour autant il n’est pas resté à subir ce travail inadapté à son état de santé. A plusieurs reprises, il a rencontré les DRH qui se sont succédé, pour réclamer ce qui lui était dû : un poste adapté à sa condition physique et à ses restrictions médicales. La lenteur, l’inertie, l’incapacité de la direction de l’hôpital à appliquer le droit (quand il est favorable aux salariés) est manifeste. Pourtant la loi stipule clairement que l’employeur est dans l’obligation de trouver le poste et le service adéquat à son employé. Cela n’a pas été le cas, malgré de vagues promesses.

 Des accusations inconsistantes. Après cela, que la direction ne vienne pas s’étonner alors de la dégradation des relations avec la hiérarchie, quand, devant tant d’indifférence, l’amertume, l’écœurement, la rancœur, prennent le dessus.Voici ce qui est reproché à Maurice : « n’est pas professionnel », « remet en cause systématiquement les ordres donnés », « ne respecte pas les consignes de travail », « fait des remarques déplacées et irrespectueuses envers son encadrement »… Il s’agit d’un problème de relation avec l’encadrement…Y a t-il eu mort d’homme ? Où est la faute lourde où la faute grave qui justifierait une révocation ?

 Signons la pétition pour la réintégration de Maurice

En appliquant la sanction la plus sévère qui soit, la direction veut instaurer la peur pour nous faire accepter ses fermetures de lits et ses suppressions de postes. Nous sommes tous(tes) concerné(e)s.

Refusons l’arbitraire, exigeons la justice, signons et faisons signer par nos collègues et nos proches la pétition pour que Maurice soit réintégré et rétabli dans ses droits.

Pour signer la pétition, cliquez ici

Non aux licenciements boursiers chez Mr Bricolage! Signez la pétition

Stop aux profits, aux dividendes indécents !

Mr Bricolage, la chaîne qui vend des produits de quincaillerie, de décoration ou de jardinage, mise sur un vaste plan stratégique pour « RELANCER » les PROFITS et les DIVIDENDES en passant notamment par la FERMETURE de 17 établissements en « difficulté » et la SUPPRESSION de 238 postes.

Le groupe (un MAMMOUTH) qui dessert au total 832 magasins dans le monde, souhaite se « recentrer » sur son activité de services aux établissements vendant ses produits et prévoit de se « désengager » de ses 87 magasins en propre en France, selon un communiqué diffusé mercredi 16/11/16.

Aussi, outre la fermeture nette en 2017 de 17 magasins estimés « dans une situation critique« , Mr Bricolage prévoit la cession « en l’état » d’une trentaine de magasins dans les deux ans.

Il envisage également qu’une trentaine de magasins « fassent l’objet d’investissements destinés à pérenniser leur activité avant leur cession ».

« Le redimensionnement de notre parc de magasins intégrés est la condition nécessaire pour nous permettre de poursuivre notre développement en France et à l’international », a assuré Christophe Mistou, directeur général de Mr Bricolage, cité dans le communiqué. Ancien de Castorama, il est arrivé à la tête de l’entreprise en mars.

Pour signez la pétition, cliquez ici

Luttons contre la loi travail : signons la pétition et rejoignons en nombre la manifestation du 31 mars

Pour lutter contre cette loi nauséabonde, une seule solution, une levée de boucliers afin que la peur change de camp et faire comprendre au gouvernement et au MEDEF que le monde du travail ne se laissera pas dépouiller impunément de ses acquis sociaux .

Pour cela, nous devons impérativement nous mobiliser et rejoindre toutes les initiatives qui permettront de combattre cette attaque sans précédent contre le code du travail mais aussi contre les discriminations syndicales vécues par nos camarades militants en lutte pour sauvegarder leurs droits et leur travail.

Pour signer la pétition en ligne qui a déjà recensé 500 000 signature en 15 jours, cliquez ici

Mais sans la rue ce mouvement ne sera rien,une majorité des syndicats présents le 24/02 à Montreuil dont les syndicats éétudiants ont d’ores et déjà appelé à une manifestation de grande ampleur le 31 mars…. l’intersyndicale au niveau national doit à nouveau se réunir le 3 mars pour définir le calendrier et le choix des actions à mener .

L’UL CGT de Nancy exige une réponse forte, sans demi-mesure et rapide à la hauteur des attaques portées pour montrer clairement au gouvernement que les salariés, sans emploi, retraités et précaires en ont plus qu’assez d’être pris pour les dindons de la farce.

ON NE LÂCHERA RIEN !!

loi el komhri

La ministre du travail propose une réforme qui transforme en profondeur le code du travail.

Parmi les éléments proposés dans le projet actuel 

☞  En cas de licenciement illégal, l’indemnité prud’homale est plafonnée à 15 mois de salaire.

☞  Les 11 heures de repos obligatoire par tranche de 24 heures peuvent être fractionnées.

☞  Une entreprise peut, par accord, baisser les salaires et changer le temps de travail

☞  Les temps d’astreinte peuvent être décomptés des temps de repos

☞  Le dispositif « forfaits-jours », qui permet de ne pas décompter les heures de travail, est étendu

☞ Les apprentis mineurs pourront travailler 10 heures par jour et 40 heures par semaine

☞  Le plancher de 24 heures hebdomadaires pour un contrat à temps partiel n’est plus la règle dans la loi (confirmation d’une loi antérieure).

☞  Il suffit d’un accord d’entreprise pour que les heures supplémentaires soient 5 fois moins majorées.

☞  Une mesure peut-être imposée par référendum contre l’avis de 70% des syndicats.

☞  Une entreprise peut faire un plan social sans avoir de difficultés économiques.

☞  Après un accord d’entreprise, un-e salarié-e qui refuse un changement dans son contrat de travail peut être licencié.

☞  Par simple accord on peut passer de 10h à 12h de travail maximum par jour.

Salarié-e-s ou non : cette réforme nous concerne toutes et tous !

Campagne sur la question des salaires

Comme plus de 2100 internautes (au 3 juin)
Signez la pétition

La CGT lance une campagne d’initiatives multiformes sur les salaires dans les entreprises afin de permettre aux salariés d’exprimer leurs besoins et formuler leurs revendications, de se mobiliser pour obtenir de réelles négociations dans les branches, dans les entreprises et pour ce qui est des agents publics, dans les services publics et la fonction publique. Les militants de la CGT iront à la rencontre des salariés, des jeunes, des retraités et leur proposeront de signer une carte pétition (ou la pétition en ligne :   http://www.cgt.fr/Petition-Augmenter-les-salaires.html) qui sera remise lors d’un temps fort dans la seconde moitié de juin pour notamment soutenir la proposition de la CGT d’une conférence sociale sur les salaires, convoquée par le gouvernement avant mi-juillet 2015 sur :
✔ l’augmentation du Smic de 10% au 1er juillet ;
✔ la revalorisation des salaires et pensions ;
✔ l’égalité salariale femmes – hommes ;
✔ la reconnaissance des qualifications.

Carte pétition