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Archives de catégorie : Actus
Brocante de la solidarité samedi 30 novembre 2024 à l’UL CGT de Nancy
Pour télécharger le flyer de la brocante, cliquez sur le lien ci-dessous :
Brocante de la solidarité le samedi 30 novembre 2024
Depuis maintenant 5 ans, le Collectif Revendicatif de l’Union locale CGT organise des brocantes de la solidarité !
Une nouvelle brocante aura lieu
Samedi 30 novembre 2024
de 12h00 à 16h00 dans ses locaux.
Nous vous rappelons que les fonds récoltés servent intégralement à venir en aide aux camarades victimes de toute sorte de répression et faire face aux frais de justice ou autre, à des pertes de salaires…
1, 2, 3 Pâtissez !
Une petite restauration sera organisée sur place et à cette occasion, nous en appelons à vos talents de Pâtissières et Pâtissiers pour confectionner des petites choses sucrées et/ou salées et attendons pour le samedi 30 novembre vos chefs-d’œuvre qui seront très appréciés !
N’hésitez pas à passer nous voir, un petit passage des camarades serait très apprécié et l’ambiance est sympa !!!
Le Collectif Revendicatif
Campagne Elections TPE 2024 – tenue d’un stand CGT
Dans le cadre de la campagne TPE, l’Union Locale CGT de Nancy tiendra un stand Place Maginot les 26 novembre et 6 décembre 2024.
Nous avons besoin de forces militantes…, vous pouvez dès maintenant nous contacter pour nous aider à tenir ce stand de 9h30 à 13h30
Scrutin électronique du 25 novembre au 9 décembre 2024
https://www.cgt.fr/dossiers/elections-tpe
Elections TPE du 25 novembre au 9 décembre 2024
L’enjeu de ce scrutin est déterminant pour mesurer la représentativité de l’audience de toute la CGT au niveau national.
Le score réalisé permettra de peser le plus possible sur les leviers de transformation en matière de politique sociale.
Quelques chiffres permettent de mieux mesurer le poids du secteur professionnel d’appartenance des salariés des TPE comme :
- 288 000 salarié·es qui travaillent dans l’industrie
- 471 000 salarié·es qui travaillent dans la construction
- 2 550 000 salarié·es qui travaillent pour le secteur tertiaire, dont le commerce qui domine
- 950 000 salarié·es de l’aide à domicile (particulier employeur, assistante maternelle)
- 310 000 salarié·es sans convention collective
Parmi ces salarié·es, nombreux sont des jeunes en contrats d’apprentissage – 8,1% en 2021 – auxquels la CGT veut particulièrement s’adresser.
Et cette campagne fournit également l’occasion d’aller vers les travailleuses et travailleurs saisonnier·es, dont 1,8 millions sont des salarié.es des TPE.
Les affiches sont téléchargeables sur le lien en début d’article.
Les salariés ont assez payé !
Suite à la présentation du Projet de Loi de Finances (PLF) 2025 et du Projet de Loi de Finances de la Sécurité Sociale (PLFSS) 2025 qui constituent un plan d’austérité sans précédent depuis la seconde guerre mondiale, vous trouverez en pièce jointe un certain nombre d’éléments qui vous seront utile dans les débats avec les salariés :
- Le communiqué de presse confédérale concernant le budget 2025.
- La note aux orgas concernant le PLF 2025.
- La note aux orgas concernant le PLFSS 2025.
- Le tract confédéral concernant le budget 2025, qui peut être diffusé dès à présent.
2024_10_11 _ Note aux orgas PLF 2025-1
2024_10_11 _ Note aux orgas PLFSS 2025-1
2024_10_11 CP de la CGT – Budget 2025-1
Vous en souhaitant bonne réception et restant à votre disposition.
Mobilisation de la CGT PJJ ce jeudi 3 octobre devant le tribunal de Nancy
Depuis le mois d’août, la CGT PJJ Grand-Est et les agents de la protection judiciaire de la jeunesse (PJJ) se mobilisent face au non-renouvellement de près de 500 contractuels à travers la France. La conséquence d’une mauvaise gestion budgétaire provoquant dégoût et colère. Cette décision est considérée comme « inacceptable et incompréhensible » par la CGT PJJ Grand-Est et les agent.e.s.
La PJJ accompagne les mineurs délinquants dans leur parcours judiciaire avec comme préoccupation principale : la primauté de l’éducatif sur le répressif.
Dans l’inter-région, ce sont 53 postes qui n’ont pas été renouvelés entre le 31 août et le 1er septembre 2024. Le gouvernement « se fout des conséquences pour les contractuels, les jeunes et les familles. ».
Au foyer de Bar-Le-Duc, l’embauche d’un éducateur permettrait le missionnement d’un éducateur-cuisinier à Nancy pour faire tourner le « Food Truck », véritable outil d’insertion pour les jeunes, à l’arrêt depuis le 1er septembre.
Au service de milieu ouvert de Nancy, il manque encore 8 postes. Alors que les mobilisations (grève et mobilisations les 14, 29 août et 19 septembre 2024) ont permis d’obtenir une prolongation d’un an pour une assistante sociale et un éducateur.
A ce jour et sur l’inter-région, les journées de grève et de mobilisation ont permis le renouvellement de 31 postes sur les 53. Mais ce n’est pas suffisant !
Face à cette situation, les agents de la PJJ, réunis autour d’une intersyndicale CFDT Interco Justice, CGT PJJ Grand-Est et SNPES PJJ FSU, ainsi que des avocats, magistrats et greffiers se sont réunis jeudi 3 octobre 2024 devant le tribunal de Nancy pour manifester afin d’obtenir les renouvellements de contrats.
Mobilisation du 1er octobre 2024 – Plus d’un millier de personne à la manif contre le coup de force de Macron et l’application du programme du NFP à Nancy
Plus d’un millier de personne à la manif contre le coup de force de Macron et l’application du programme du NFP à Nancy
Relations Presse Confédérale
Ce mardi 1er octobre, à l’appel de la CGT, de la FSU, de Solidaires et des organisations de jeunesse, ce sont plus de 170 000 personnes qui ont défilé dans 190 villes de France pour exiger des augmentations de salaire et de pension, l’abandon de la réforme de l’assurance chômage, l’abrogation de la réforme des retraites et le financement de nos services publics.
De nombreux débrayages ont eu lieu dans les Ehpad, les hôpitaux, les services, l’industrie comme à Vencorex (Isère) et des milliers d’écoles ont vu leur fonctionnement perturbé par la grève. À l’appel de la FERPA, les retraité·es étaient largement mobilisé·es.
Gouvernement et patronat contraints à de premiers reculs
La mobilisation a forcé le Premier ministre à reconnaitre l’échec de la politique économique sociale et environnementale d’Emmanuel Macron et à annoncer :
- l’augmentation du Smic de 2%, au 1er novembre, et la remise en cause d’une partie des exonérations de cotisations sociales en reconnaissant qu’elles représentent des trappes à bas salaire. La CGT demande qu’une nouvelle augmentation du Smic ait lieu en janvier et qu’elle soit suivie d’une augmentation du point d’indice dans la fonction publique et de l’augmentation de l’ensemble des salaires dans le privé ;
- l’enterrement de la violente réforme de l’assurance chômage et la relance d’une négociation. C’est une grande victoire intersyndicale qui va éviter à 1 million de privé·es d’emploi de tomber dans l’extrême précarité ;
- l’abandon du projet de réforme constitutionnelle de la Nouvelle Calédonie alors que l’acharnement du président de la République a ruiné l’économie du territoire et causé 13 morts.
Le Premier ministre a également effectué un recadrage salutaire de son ministre de l’Intérieur en rappelant son attachement à l’État de droit et son intransigeance face au racisme et à l’antisémitisme. Cela doit maintenant se traduire en actes concrets pour faire reculer l’Extrême droite et ses idées.
Un changement de méthode démocratique qui doit commencer par les retraites
Le Premier ministre a annoncé son souhait de redonner la main au parlement, aux acteurs sociaux et aux citoyen·nes Il doit donc s’engager à respecter le vote des députés qui sont une majorité à être favorables à l’abrogation de la réforme des retraites.
L’ouverture d’un chantier pour « corriger la réforme des retraites » constitue, après 18 mois de déni et de passage en force présidentiel, une première reconnaissance de la violence de cette réforme. La CGT appelle le Premier ministre à abroger la réforme et à organiser une conférence de financement de nos retraites.
Services publics : la mobilisation s’impose contre l’austérité
Sur l’essentiel et notamment sur le futur budget, le discours du Premier ministre est resté très flou. La priorité annoncée pour l’école, la santé et la petite enfance doit se traduire par un investissement budgétaire massif. Sur ce point, le Premier ministre n’a pris aucun engagement. Pire, il a dénoncé le niveau de la dépense publique. La vigilance et la mobilisation s’imposent pour empêcher une violente politique d’austérité. La grave paupérisation de nos hôpitaux, de nos écoles et de nos infrastructures impose un plan de financement ambitieux, pour répondre aux enjeux d’avenir, au défi environnemental, au vieillissement de la population et au désenclavement de nos territoires. De même, en matière d’industrie où, alors que la CGT lui a remis la liste des 170 plans de licenciements détruisant 100 000 emplois, le Premier ministre n’a fait aucune annonce concrète. Rien non plus sur la nécessaire augmentation des pensions des retraité·es.
La CGT appelle les salariés et les retraité·es à continuer à multiplier les luttes pour garder la main et gagner l’augmentation des salaires et des pensions, l’abrogation de la réforme des retraites, le financement de nos services publics et la relance de notre industrie.
Montreuil, le 1er octobre 2024