Communiqué de presse local grève SNCF du 21 novembre 2024

Bonjour à vous les camarades, dans le cadre de l’action qui va mener à la grève à partir du 12 décembre prochain, le Secteur Fédéral CGT Cheminots de Lorraine a proposé à l’ensemble de ces syndicats une distribution de tract aux usagers.
Cette distribution, validée par les syndicats, se déroulera le mardi 10 décembre 2024 sur l’ensemble du territoire lorrain. Elle permettra d’expliquer aux usagers les raisons de notre mobilisation.
Vous trouverez en pièce jointe le tract qui sera distribué.
Nous comptons sur l’implication de toutes et tous pour la réussite de cette action.
Fraternellement
Rémy GEHIN
 
Secteur Fédéral CGT des Cheminots de Lorraine
Pour télécharger le tract aux usagers, cliquez sur le lien ci-dessous :
communiqué de presse local relatif à la grève à la SNCF du 21 novembre 2024.
Le secrétariat du syndicat
Communiqué de presse
Les 4 organisations syndicales représentatives à la SNCF appellent les cheminot-e-s à la grève le 21 novembre dans le cadre d’un ultimatum contre le plan de discontinuité de FRET SNCF, la filialisation de l’activité TER, Transilien et Intercités, la mise en concurrence de SNCF Réseau dans le cadre de la multiplication des transferts de lignes aux régions prévus par la loi LOM, et l’abandon d’une partie du réseau à des acteurs du BTP.
Par l’appel à la mobilisation massive par la grève, relayée par les syndicats CGT de site, les cheminots exigent que le Gouvernement et la Direction de la SNCF reviennent à une entreprise SNCF 100% publique, unique et intégrée, arrêtent le processus de discontinuité de Fret SNCF et fixent un moratoire, arrêtent le processus de filialisation TER, Transilien et Intercités, et planchent sur une loi de programmation pluriannuelle pour la modernisation du système ferroviaire.
Alors que la question écologique est l’enjeu pour les générations futures et l’avenir de la planète, les orientations politiques, notamment en matière de décarbonisation des modes de transports, vont à contresens.
Le fret ferroviaire est ouvert à la concurrence depuis 2005 et jamais l’inversion du report modale de la route vers le rail ne s’est produit, bien au contraire.
Ce véritable laboratoire donne les conclusions que les mêmes causes vont produire les mêmes effets pour le transport de voyageurs.
Les promesses d’un meilleur service et moins cher sont des leurres mensongers auxquels ne croient même pas les adeptes du dogme libéral autant il faudra que l’entreprise prenante fasse des bénéfices impérativement.
Ils veulent mettre à mort l’entreprise publique et l’offrir, avec ses marchés de transport de marchandises, à la concurrence routière, engorgeant encore plus nos routes, augmentant les risques accidentogènes et de santé publique.
Pourtant, sur une région fortement industrialisée comme la Lorraine, seule une entreprise publique peut répondre par des solutions de transport aux entreprises, en import/export, en qualité et en quantité au tarif déterminé sans application de la loi des marchés exclusivement juteux. Ainsi, la relance de l’activité « wagon isolé » est un impératif pour desservir nos zones commerciales et industrielles par la réouverture des dépôts locaux et du tri des wagons de marchandises.
Dans les 100 milliards d’€ promis pour le ferroviaire d’ici 2030, annoncés par l’ancien ministre des transports, la CGT demande la part Lorraine pour, notamment, mettre en œuvre les grands projets abandonnés tels que la construction de la gare d’interconnexion entre le TGV et le TER à Vandières, le développement de l’intermodalité des transports entre l’aérien et le ferroviaire à Louvigny, entre le fluvial et le ferroviaire au port de Frouard, entre le routier et le ferroviaire par le développement du ferroutage à Champigneulles.Syndicat UFCM-CGT des cheminot-e-s de Nancy 18 Avenue Foch 54000 Nancy

Manifestation contre les violences faites aux femmes – samedi 23 novembre 14h Place Maginot à Nancy

cher·e·s camarade,
L’Union locale CGT de Nancy appelle les syndicats et syndiqué·e·s de son périmètre à participer à la manifestation unitaire contre les violences sexistes et sexuelles faites aux femmes qui aura lieu samedi 23 novembre à 14h00 place Maginot.
Pour l’UL CGT de Nancy
Yann Venier

 

Mobilisation des agents de la ville de Vandoeuvre, Fierté et Détermination !

Pour télécharger les documents, cliquez sur les liens ci-dessous :

Communiqué de presse grève 8 nov 2024

GREVE VAND 08-11 – PARTI TRAVAILLEURS 13-11-24

L’Est Républicain-Un protocole d’accord pour sortir de la crise-11112024

 

 

Communiqué de la CGT Territoriaux de Vandœuvre
« Fierté et Détermination ! »

*Grâce à une mobilisation massive et déterminée des agents de la ville de Vandœuvre, nous avons obtenu des avancées significatives pour nos droits et nos conditions de travail, concrétisées dans un protocole de sortie de crise validé par notre syndicat et par le maire de Vandœuvre. Cette victoire marque une étape importante pour le respect et le bien-être des agents au service de la collectivité.
Les principaux engagements obtenus sont les suivants :
1. Audit des Risques Psychosociaux :
Un audit indépendant des risques psychosociaux (RPS) sera mené par un organisme
extérieur agréé. Cet audit répond à la nécessité d’évaluer et de remédier aux conditions de
travail délétères, pour instaurer un environnement de travail sain et respectueux pour tous.
2. Lutte contre les discriminations :
Conformément à notre demande, l’enquête administrative concernant la direction des
affaires scolaires sera transmise au procureur de la République. En tant que syndicat, nous ne traitons pas ces situations par des pétitions, mais avec la rigueur qu’elles méritent. Tout en respectant la présomption d’innocence, nous accordons beaucoup d’importance aux témoignages poignants de nombreux agents qui vivent des situations intolérables. La transparence et la justice sont essentielles pour garantir un environnement de travail où chacun est respecté.
3. Politique des Ressources Humaines :
Une réunion spécifique sur la mise en place d’une véritable politique de ressources
humaines a été programmée pour décembre 2024. Ce sujet, essentiel pour la gestion
bienveillante et équitable des agents, exige une attention particulière qui ne peut être traitée superficiellement en 30 minutes. Cette rencontre avec notre syndicat marque une première étape importante dans la reconnaissance des enjeux RH au sein de la collectivité.
4. Moyens humains et matériels :
La direction générale s’engage à organiser un temps de travail dédié à l’évaluation des
besoins matériels et humains dans plusieurs services prioritaires, notamment dans les crèches, la police municipale, le service de propreté et les ATSEM. Cette démarche vise à objectiver les besoins de ces services pour adapter les moyens alloués à leur réalité sur le terrain.
Prise en compte de la pénibilité et revalorisation indemnitaire :
Nous avons également mis en avant la nécessité de reconnaître la pénibilité dans
plusieurs services et de prendre des décisions politiques concrètes pour améliorer les conditions des agents. Cela inclut la revalorisation du régime indemnitaire pour des services comme par exemple les crèches, les ATSEM, la propreté où les métiers sont particulièrement exigeants.

« Bonus Attractivité »
Nous demandons expressément à la collectivité de mettre en place le « Bonus Attractivité » pour les agents des crèches. Ce dispositif national permet aux agents concernés de bénéficier d’une augmentation de 100 euros nets mensuels, entièrement financée par l’État. En intégrant cette mesure, la collectivité contribuerait à rendre les métiers de la petite enfance plus attractifs, tout en soutenant financièrement les agents qui en ont le plus besoin. C’est une mesure concrète, peu coûteuse pour la Ville, qui améliorerait immédiatement le quotidien des agents.
Lors de nos discussions avec l’autorité territoriale, les services de l’administration, et avec le soutien de la Coordination Syndicale Départementale CGT des Services Publics, nous avons réaffirmé l’importance d’un management des ressources humaines basé sur la bienveillance et l’écoute des agents en difficulté. Nous serons intransigeants sur ce point. La prise en compte du bien-être des agents n’est pas négociable : c’est une priorité.
La mobilisation du 8 novembre s’inscrit pleinement dans notre plan de travail revendicatif. À présent, nous allons continuer d’agir dans les espaces de discussion avec l’aide de nos
camarades de la Coordination CSD CGT Services Publics, outil de notre fédération en territoire,pour consolider ce protocole et pour obtenir de nouvelles avancées sociales.
Bravo aux agents de  Vandœuvre mobilisés avec fierté et détermination ! Votre engagement a permis de porter les revendications légitimes pour défendre un service public de qualité, au service de toutes et tous.
Nous espérons qu’une nouvelle ère apaisée s’ouvrira dans notre collectivité, fondée sur le
respect et la reconnaissance du rôle essentiel des représentants du personnel, maillons
indispensables des relations sociales.
**Vive la lutte des agents de Vandœuvre, vive la solidarité et vive le service public !**
Être syndiqué permet d’être informé de ses droits collectifs et individuels et de l’évolution de la législation. Cela garantit un accompagnement au quotidien et en cas de difficultés professionnelles. Faire partie d’un groupe est un point fort, car cela permet d’être écouté et soutenu.
Vous souhaitez des informations et-ou rejoindre la CGT Vandœuvre Ville et CCAS ?
Contactez-nous : Par SMS au 06.16.55.82.59
Par mail : cgtvandoeuvre54500@gmail.com
Chaque jeudi : permanence CGT niveau -1, Hôtel de Ville, 7 rue de Parme, Vandœuvre.

Que dit, que fait le nouveau gouvernement ?

Pour télécharger le bulletin de l’Association, cliquez ici : DAL-119

Que dit, que fait le nouveau gouvernement ?
D’accord, la nouvelle ministre du logement, Mme Valérie LETARD, a l’air plus sympathique
que son prédécesseur, le sinistre KASPARIAN. Mais sur le fond, le gouvernement Barnier
prolonge la politique libérale mise en œuvre depuis plusieurs années, au détriment du logement social et des ménages modestes ou défavorisés.

Dans sa déclaration de politique générale, le Premier Ministre annonce sa priorité pour l’investissement locatif privé et pour l’accession à la propriété.
Il annonce également une simplification des normes : on craint le pire, par exemple le rétablissement du décret « marchand de sommeil » qui autorisait la location de cave,
de logements de 1m80 sous plafond ou/et de moins de 2m de large, décret annulé par le
Conseil d’État fin août sur un recours de la Fédération DAL…….. lire le bulletin en lien ci-dessis

 

La CGT Ville et CCAS de Vandoeuvre appelle à la grève le 8 novembre 2024

Pour télécharger le tract, cliquez ici : TRACT appel à la grève le 8nov 2024-1

APPEL À LA MOBILISATION
« ÇA SUFFIT !!! »
Vandoeuvre, le 21 octobre 2024

Depuis plusieurs mois, vous êtes très nombreux à nous alerter sur la dégradation de vos conditions de travail et sur le climat délétère qui règne au sein de notre collectivité.Le manque d’équité et d’égalité dans notre collectivité est inacceptable. En tant que représentants du personnel, nous croyons en des valeurs fondamentales d’équité, de respect et de justice pour tous les agents quel que soit leur statut ou leur poste.
L’égalité des chances pour l’avancement professionnel doit être une réalité, pas un slogan. Nous devons garantir que chaque agent ait la possibilité de développer sa carrière en fonction de son engagement et de ses compétences.
Chaque agent mérite d’être traité avec respect, sans discrimination ou toute autre caractéristique personnelle. La collectivité se doit de créer un environnement de travail inclusif et bienveillant. Il est temps de nous mobiliser pour un changement positif au sein de notre collectivité. Il est temps de parler de quelque chose qui nous concerne tous : la souffrance au travail. La pression constante, les exigences excessives, le manque de soutien, tout cela a un impact dévastateur sur notre bien-être.
Nous refusons de laisser la souffrance au travail prendre le dessus. C’est ensemble que nous pouvons faire la différence.
Nous ne pouvons plus faire autrement que de nous faire entendre par la lutte ! En qualité de fonctionnaires et agents publics, nous ne pouvons plus accepter un tel comportement !
C’est pour toutes ces raisons que nous appelons l’ensemble du personnel à se mobiliser le :
Vendredi 8 novembre 2024
Rassemblement : 11h00 – Place de Paris
Départ en manifestation vers l’Hôtel de Ville
(Barbecue revendicatif à 12h00 sur place
Pour information, un préavis de grève local couvre l’ensemble des agents.
L’absence de service fait donne lieu à une retenue proportionnelle à la durée de la grève, en comparant cette durée aux obligations de service
auxquelles l’agent était soumis pendant la période de grève. Ainsi, la retenue est égale à :
1/30è pour une journée d’absence,
1/60è pour une demi-journée d’absence,
1/151,67è par heure d’absence.
Exemple : un agent gréviste pour une durée d’une heure fera l’objet d’une retenue de salaire équivalente à la durée de son absence.

Voici le détail des revendications que nous portons :
– Redonner les moyens matériels et humains pour pouvoir offrir un service public de qualité :
* Renforcer les effectifs dans les services en difficulté (crèches, police municipale, propreté, etc.).
* Fournir les équipements adaptés aux missions spécifiques.

– Arrêt du management autoritaire :
* Réaliser un audit des risques psychosociaux par un organisme externe.
* Mettre fin aux menaces de sanctions disciplinaires.
* Rétablir la rémunération des heures supplémentaires (CTM, Propreté, Huissiers…).

– Mise en place d’une véritable politique de ressources humaines : nous sommes respectueux de la fonction publique, de ses grades et cadres d’emploi, mais cela ne peut justifier des mutations forcées que nous considérons comme des sanctions déguisées. Le fonctionnement de la direction des ressources humaines doit tous nous interroger ;
– Lutte contre toutes les discriminations : suite aux présumées infractions pénales, dénoncés par des agents lors de la rencontre du 6 mai 2024, nous demandons la saisine par l’autorité territoriale du procureur de la République conformément à l’article 40 du Code de procédure pénale ;
– Respect des instances de relations sociales et de leurs membres : trop souvent, nous constatons de l’agressivité, du mépris et un manque de respect lors des instances sociales où se prennent des décisions importantes concernant la carrière, le bien-être au travail et l’égalité des droits des agents.
Nous en appelons solennellement au soutien de l’ancien maire, Stéphane Hablot, récemment élu député du Nouveau Front Populaire et également conseiller municipal au sein de la majorité municipale, pour soutenir le personnel de la ville en lutte. Nous connaissons toutes et tous son engagement pour une ville inclusive et sa lutte contre toutes les discriminations.

Nous demandons à l’exécutif municipal d’ouvrir des négociations sur les revendications que nous portons !

SOYONS TOUTES ET TOUS ENSEMBLE,
POUR DÉFENDRE NOS DROITS, DÉFENDRE NOTRE SERVICE PUBLIC ET SURTOUT DÉFENDRE NOTRE DIGNITÉ !!!

Nous déciderons ensuite et ensemble des autres actions revendicatives à mener.

FORMATION -DÉBAT : 13 et 14 Novembre 2024 INNOVATIONS TECHNOLOGIQUES, SANTÉ AU TRAVAIL, ENVIRONNEMENT : LE DÉBAT CONFISQUÉ

FORMATION -DÉBAT : 13 & 14 Novembre 2024

INNOVATIONS TECHNOLOGIQUES, SANTÉ AU TRAVAIL, ENVIRONNEMENT : LE DÉBAT CONFISQUÉ

SESSION DE FORMATION UNITAIRE organisée à l ’attention des militant·e·s de l’Union locale CGT de Nancy, la FSU 54 et Solidaires 54
compatible avec un congé de formation économique sociale, environnementale et syndicale

Vous trouverez ci-dessous en cliquant sur le lien :

– La présentation de la formation

Formation_13-148NOV2024-presentationSTAGE

 

– La fiche d’inscription pour les 13 et 14 novembre

Fiche d’inscription

 

Une projection débat aura lieu le Mercredi 13 novembre 2024 à 20h (présentation en pièce jointe)

Entrée : prix libre

presentationSOIREE-13NOV-2

 

L’Usine, le bon, la brute et le truand est un film documentaire sur la lutte pour sauver l’usine papetière Chapelle
Darblay de Grand Couronne (banlieue de Rouen), créée en 1927.
Trois ans de luttes entre 1980 et 1983 pour préserver l’outil de travail et 360 emplois.
Suivent des bagarres, fortes, répétitives, longues pour exiger le maintien d’une activité sociale et écologique.
PLUS DE 20 ANS DE COMBAT !
Les salarié·e·s de la Chapelle Darblay se distinguent dans leur résistance face à un capital destructeur.