Fin de grève chez BUT, après plus de 10 jours !

Après plus de 10 jours de grève, les Camarades ont levé le piquet de grève qu’ils tenaient chaque jour devant le magasin.

La grève a débuté le mercredi 5 février, ils ont repris le travail ce lundi 17 février après avoir été reçus par la direction.

– Suppression des taches supplémentaires pour les caissières

– Arrêt de la pression par des notes de service au niveau du dépôt

– Échelonnement des jours de grève sur 2 mois

– Rappel des primes non versées

Les NAO vont se tenir en mars 2025, affaire à suivre….

Congrès UL CGT Nancy des 4 et 5 juin 2025 à Malzéville !

Invitation aux syndicats pour Congrès UL CGT Nancy des 4 et 5 juin 2025

Aux syndicats CGT de l’UL de Nancy

Cher(e) Camarade,

Nous t’informons que le prochain Congrès de l’UL CGT de Nancy se tiendra les 4 et 5 juin 2025 à la salle Michel Dinet, Place François Mitterrand, Malzéville

Le Congrès est une étape importante de la vie démocratique de notre organisation et c’est aussi un moment important de réflexions, d’échanges, d’orientations et de décisions que nous aurons à prendre durant ces 2 jours. Ce congrès portera des enjeux particuliers concernant l’avenir de l’Union Locale en termes de renouvellement de l’équipe d’animation et d’organisation des activités. Il est donc important que vous fassiez le maximum pour participer au congrès.

Il est important que vivent les structures interprofessionnelles, afin de développer les solidarités entre les salariés du privé et du public, les actifs et les retraités pour mieux coordonner les actions.

Qui peut venir au congrès

Chaque syndiqué, qu’il soit adhérent à son syndicat d’entreprise, voire sa section syndicale ou syndiqué au syndicat multipro de l’Union Locale CGT de Nancy est invité à notre Congrès, qu’il soit salarié, privé d’emploi ou retraité.

Cependant, seuls les syndiqués dûment mandatés par leur syndicat sont habilités à voter.

Règles de participation au Congrès 

Pour participer et voter au congrès, les syndicats devront être à jour des cotisations 2024 au 30 Avril 2025.

Comment participer au congrès, sur quel temps syndical 

Dans certaines entreprises, branches ou dans les services publics est prévu par accord, convention collective ou statut, la possibilité d’avoir des jours de congrès syndical. Vérifie si c’est le cas.

Peut-être as-tu aussi la possibilité d’avoir du temps de délégation syndicale, si tu es élu ou mandaté.

Inscription au congrès UL CGT Nancy des 4 et 5 juin 2025

Demande de candidature à la Commission Exécutive

Tu trouveras aussi une fiche de candidature à la Commission Exécutive pour la prochaine mandature à nous retourner avant le 30 avril 2025.

fiche de candidatures CE ET CFC

Envoi des documents pour le congrès

Les documents en vue de notre prochain congrès sont en préparation et seront présentés et votés à la Commission Exécutive avant d’être envoyés dans vos syndicats courant avril 2025.

D’autres informations concernant le Congrès seront envoyées.

Comptant sur ta participation, reçois, cher(e) Camarade, nos salutations fraternelles.

Le Collectif Congrès

de l UL CGT de Nancy

CGT CAF 54 – Un numéro d’équilibriste et la politique de l’autruche

Pour télécharger le tract, cliquez ici : tract cgt caf 54

Un numéro d’équilibriste et la politique de l’autruche
Dans tous les services, les résultats du Baromètre social (BSI) ont été présentés par la direction. Nous avons pu assister à un joyeux numéro d’équilibriste ! Pas facile de n’évoquer que le positif, d’éviter soigneusement de parler des salaires et de tout ce qui ne va pas à la Caf. Quel talent !
Et pourtant des chiffres on nous en a servi plein, trop, tellement qu’on n’a rien retenu, sinon une bonne migraine pour nous, et que tout va bien pour eux. Comme quoi, on peut vraiment faire dire ce qu’on veut aux chiffres !
Et si on étudiait ces chiffres de notre point de vue de salarié ?
On le voit autour de nous, beaucoup de collègues partent ou envisagent de le faire. Et ça se confirme dans les chiffres : 45 % d’entre nous envisagent de changer d’activité professionnelle.
Plus grave encore, et ça en dit long, 54 % d’entre nous ne recommanderaient pas à un proche de venir travailler dans notre organisme !
Alors qu’est-ce qui ne va pas ?
D’abord parce que les salaires sont beaucoup trop bas et n’évoluent pas : 85 % d’entre nous sont mécontents de notre rémunération. Et seuls 2 % estiment le salaire motivant !
Si au moins on était bien… mais 31 % d’entre nous subissent un stress trop important. Tu m’étonnes : 81 % ressentent une charge de travail trop importante, et 19 % seulement la considèrent comme normale !
La direction est largement considérée comme responsable : 36 % d’entre nous pensent qu’elle n’est pas attentive aux conditions de travail, 47 % qu’elle ne favorise pas un management bienveillant, et même 70 % qu’elle ne prend pas en compte l’avis des salariés.
Alors on fait quoi ?
Oui c’est vrai à la Caf on a de la « chance », on peut organiser sa vie facilement, aller  ses enfants à la sortie d’école, poser des congés…
Tout ça c’est vrai, mais est-ce suffisant ?
Déjà il faudrait pouvoir remplir le frigo !
Les chiffres sont là. Alors maintenant on en fait quoi ?

Loi HANDICAP de 2005, Où en sommes-nous, 20 ans après ?

Pour télécharger le tract de la CGT Santé Action sociale, cliquez ici : tract_ufas_loi_handicap_20_ans_-_02-2025-2

Comme dit la chanson « Paroles, paroles, et paroles que des Paroles »

La loi 2005-102 du 11 février 2005 pour « l’égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées » fixe le principe d’une accessibilité généralisée, intégrant tous les handicaps, qu’ils soient d’ordre physique, visuel, auditif ou mental.

Pourtant les invisibles « les professionnels » qui prennent en charge les enfants, les adultes en situation de Handicap, que disent-ils ? Que chacun·e doit avoir une place dans la société, garantie par la puissance publique qui doit mettre en place :
–  les moyens financiers,
– les ressources humaines,
– un réel principe de compensation.
Pour répondre aux besoins du quotidien (logement, pratiques culturelles, sportives…),  e soins, de scolarité, de formation, de l’emploi…, il y va du lien social, du vivre ensemble, de la cohésion sociale.
Vingt ans après, l’accessibilité est perpétuellement repoussée, l’inclusion à tout prix des enfants en situation de handicap se vit dans un système scolaire déjà en difficultés et dépourvu de moyens supplémentaires.
Les personnes handicapées, jeunes et adultes « vieillissantes » et leurs familles sont confrontées à un véritable parcours du combattant.
Le secteur médico-social n’a pas attendu « le tout inclusif porté par le gouvernement » pour penser « le hors des murs institutionnels », travailler à l’autonomie, accompagner sur les lieux de scolarité ou de travail. L’adaptation reste la base de tout travail éducatif. Cependant, au fil des années, les moyens se sont raréfiés avec l’externalisation massive des prises en charge sous prétexte de l’inclusion s’est mise en place. Aucune remise en question sur le fait de penser notre société comme devant être inclusive. Les listes d’attente pour intégrer les lieux adaptés aux enfants, adultes en situation de handicaps explosent, le recours aux prestations extérieures, au libéral se met en place, laissant dans le désarroi de nombreuses familles restées sans solution.
[Les professionnels n’arrivent plus à accompagner les usager·ères et leurs familles d s institutions et/ou par manque de professionnels pouvant les soutenir.
[Les professionnels ont vu, au fil des années, leurs conditions de travail se modifier, puis se réduire sans une réelle prise en compte des besoins réels, ni du temps nécessaire pour assurer la relation et soutenir l’évolution. Un « travail bien fait » est remplacé par « devient un planning bien rempli », tant pour la personne accompagnée que pour le professionnel, que cela ait du sens ou non. L’état se désengage financièrement et politiquement au nom de l’inclusion. L’existence même des Établissements et des Services médico-sociaux, est remis en question. On parle
aujourd’hui de plateforme, d’ambulatoire, de prestations. Le sens même du travail social est remis en question. « Le prendre soin », l’accompagnement, la relation éducative, l’adaptation au handicap, sont balayés pour laisser place à une
logique comptable. La notion de référence éducative disparaît au profit de celui qui se préoccupe de l’autre ou au bénéfice de coordonnateur de parcours.
[Pour les professionnels, la mise en place de la réforme Serafin-ph tisse l’évolution de ces cadres de travail dans notre champ professionnel. Elle décortique l’ensemble des actes éducatifs et de soin au regard d’un référentiel administratif des besoins sans prendre en compte la relation humaine. Cette réforme exclut les notions de temps de rencontre, d’échange, l’informel si nécessaire à la cohésion.
[Les professionnels sont partout de plus en plus malmenés. Il faut faire plus avec moins, de nombreuses souffrances s’expriment. Les professionnels quittent le secteur re d’être maltraitants, sous prétexte de la mise en place d’une nomenclature inhumaine basée sur une logique budgétaire.
[Les professionnels réclament que « l’inclusion » s’efface au bénéfice de l’inclusivité des politiques publiques, c’est-à- dire la mise en place de moyens réellement proportionnés aux besoins du secteur.
Vingt ans après, la loi de 2005 ne doit pas être qu’une promesse vide. L’UFAS CGT exige non plus une simple inclusion de façade, mais une véritable société inclusive, pensée avec et pour les personnes concernées et les professionnels du secteur.
L’égalité des droits et des chances ne se décrète pas, elle se construit avec des moyens concrets et une réelle volonté politique afin de répondre aux principes de non-
discrimination et de libre choix, de l’égalité des chances, d’accessibilité, de participation à la vie citoyenne, de compensation et d’universalité pour les personnes en situation de handicap.

CGT REMM – Coupes budgétaires et suppressions de postes !

:

Face au premier  refus de l’ensemble des organisations syndicales des propositions de coupes budgétaires lors du CSE du 28 janvier 2025, s’est tenu le 6 février 2025 un CSE extraordinaire.

La Direction reste sur les même propositions :

– Suppression de 15 postes de jour à la Pouponnière

– Suppression de 3 postes de nuit au Centre Parental

– Suppression du poste d’un agent technique dans les Unités de Longwy

– Suppression d’un poste d’Agent Educatif de nuit à l’UAA Tomblaine

QUI SERONT LES PROCHAINS ?

POUR FO, CGT ET CFDT C’EST NON POUR TOUT !!!

Comme si ces coupes budgétaires ne sont pas suffisantes.

Ils veulent aussi nous supprimer les 5 jours de CPA

TOUTES ET TOUS CONCERNE-ES, MOBILISONS-NOUS.

LUNDI 3 Mars 2025 à 13h00

Rassemblement devant le siège du REMM, 1a rue Bel air à Laxou

 

le 08 MARS 2025 la journée internationale de lutte pour les droits des femmes – Initiative UD CGT 54 le 7 mars 2025

8 MARS 2025

Qui se déroulera le vendredi 7 mars 2025

Cher-e-s camarades,

Veuillez trouver ci-joint l’affiche concernant l’initiative de l’UD CGT 54 sur le 08 MARS 2025 la journée internationale de lutte pour les droits des femmes, qui aura lieu le VENDREDI 07 MARS à la Maison du Peuple – 02 rue Drouin à Nancy.

Pour télécharger l’affiche, cliquez ici : Affiche 8 mars 2025

  • 18 h 30 – Accueil et convivialité autour d’un buffet dinatoire
  • 20 H 30 – Projection du film MADE IN BENGLADESH : Shima, 23 ans travaille dans une usine textile à Dacca au Bengladesh. Face à des conditions de travail de plus en plus dures, elle décide avec ses collègues de monter un syndicat, malgré les menaces de la Direction et le désaccord de son mari. Ensemble, elles iront jusqu’au bout.

Fraternellement

Julien HEZARD

Secrétaire Général